Selon l’Insee Corse, les nuitées hôtelières en Corse au cours du T1 2010 ont reculé de 5 % par rapport à la même période de 2009. On a compté dans l’île 114 652 nuitées en hôtel, dont 9 230 pour des occupants de nationalité étrangère. A l’instar de ce que l’on voit pour les flux de transport, cette statistique de nuitées va retrouver tout son intérêt, avec la montée en charge dans l’hôtellerie à partir du mois d’avril.
Le taux d’occupation en mars 2010 a été de 32,2 % contre 31,5 % an mars 2009.
Il faut noter qu’en dehors du 3e trimestre 2009 (en fait surtout les mois d’août et septembre), les nuitées sont en repli importants depuis le mi-2009 (T2 2009 : -6,6 % ; T4 2009 : -5,8 % ; T1 2010 : -5 %). Si la saison a été sauvée par un bon été, le reste de l’année est médiocre en Corse. Ceci pèse particulièrement sur les hôtels ouverts à l’année qui voient leur chiffre d’affaire hors saison se réduire de façon conséquente.
Le taux d’occupation en mars 2010 a été de 32,2 % contre 31,5 % an mars 2009.
Il faut noter qu’en dehors du 3e trimestre 2009 (en fait surtout les mois d’août et septembre), les nuitées sont en repli importants depuis le mi-2009 (T2 2009 : -6,6 % ; T4 2009 : -5,8 % ; T1 2010 : -5 %). Si la saison a été sauvée par un bon été, le reste de l’année est médiocre en Corse. Ceci pèse particulièrement sur les hôtels ouverts à l’année qui voient leur chiffre d’affaire hors saison se réduire de façon conséquente.
Au niveau de l’indicateur de part de marché touristique pour l’hôtellerie, qui compare l’évolution des nuitées avec celle des flux de transport en Corse on remarque que les pertes de part de marché pour les hôtels continuent (cf. graphique, la courbe monte). C’est une tendance structurelle bien implantée en Corse. L’accueil touristique y est en effet beaucoup plus diversifié qu’ailleurs en Méditerranée, l’hébergement marchand classique ayant vu sa part de marché dans les nuitées progressivement se réduire depuis 10 ans. Mais il faut aussi préciser que la capacité d’accueil dans les hôtels est restée quasiment inchangée depuis 10 ans.