L'Annu Corsu, rétro 2011, perspectives 2012 est disponible dans les kiosque. J'ai eu l’opportunité très stimulante de contribuer à cette publication pour la partie économique.
Pour ma partie, outre la rétro 2011 - perspectives 2012, sont abordés trois focus (transport, immobilier et finances publiques).
La rédaction datent du premier trimestre mais ça n'a pas trop vieillit! A mon avis, actuellement le risque principal pour l'économie corse est un décrochage du niveau de vie des habitants de l'île, notamment à cause de trois chocs difficiles à digérer (vieillissement, austérité, renchérissement de l'énergie). Sans oublier le problème de l'immobilier en Corse, menace encore latente mais majeur.
Pour le contrer, le modèle économique doit changer de cap. Mais, sans oublier que la logique du too big to fail est prépondérante en Corse (secteur public, transport, tourisme, construction) et que cela implique de préserver autant que possible l'existant. En somme, virer de bord sans casser le gouvernail.
Pour plus d'info, vous pouvez retrouver l'interview de la directrice de la publication, Sandra Alfonsi, pour le magazine Sera Inseme
PS : Une petite erreur d'impression s'est glissée dans l'Annu Corsu. Je ne suis bien évidemment pas professeur des universités...
Pour ma partie, outre la rétro 2011 - perspectives 2012, sont abordés trois focus (transport, immobilier et finances publiques).
La rédaction datent du premier trimestre mais ça n'a pas trop vieillit! A mon avis, actuellement le risque principal pour l'économie corse est un décrochage du niveau de vie des habitants de l'île, notamment à cause de trois chocs difficiles à digérer (vieillissement, austérité, renchérissement de l'énergie). Sans oublier le problème de l'immobilier en Corse, menace encore latente mais majeur.
Pour le contrer, le modèle économique doit changer de cap. Mais, sans oublier que la logique du too big to fail est prépondérante en Corse (secteur public, transport, tourisme, construction) et que cela implique de préserver autant que possible l'existant. En somme, virer de bord sans casser le gouvernail.
Pour plus d'info, vous pouvez retrouver l'interview de la directrice de la publication, Sandra Alfonsi, pour le magazine Sera Inseme
PS : Une petite erreur d'impression s'est glissée dans l'Annu Corsu. Je ne suis bien évidemment pas professeur des universités...
